Meilleures découvertes du mois de novembre (+ 3 cm !)

3,Déc,2022 | Journal de pousse | 0 commentaires

Il est temps de dresser le bilan de ce mois de novembre, si riches en découvertes ! En effet, j’ai testé des nouveautés, et j’ai opéré un certain nombre de changements par rapport à ma routine du mois dernier (octobre).

Ces produits m’ont apportés des superbes résultats au niveau capillaire : j’ai visiblement gagné en longueur et j’ai trouvé des méthodes pour limiter (encore plus) la casse de mes cheveux.

Coloration, accessoire, soins, coiffure : je partage donc avec vous ma nouvelle routine et mon avis sur ces expériences.

Un mois de traitement Olaplex n°3 et n°8

1 mois traitement olaplex pousse de cheveux

La grande nouveauté lors de ce mois de novembre ! J’ai testé les traitements Olaplex n°3 et n°8 (aucun partenariat !). A ce sujet, j’ai rédigé un long article, détaillant ma démarche et les résultats semaines après semaines, en photo.

En quelques mots, je suis ravie sur plusieurs points :

  • Mes cheveux semblent moins cassés.
  • Les fourches paraissent moins perceptibles au toucher.
  • Ils ont beaucoup poussé.
  • Ils ne s’emmêlent plus du tout.
  • Ils sont extrêmement brillants, effet « miroir ».

Chaque soir, je gagne un temps considérable, car ma chevelure est démêlée… en deux minutes. Contre 15 à 30 minutes, auparavant. Le peigne n’accroche plus. Il n’y a jamais de nœuds. Donc, j’évite réellement la casse.

Seule remarque à formuler au sujet de ce traitement : un shampoing par semaine avait toujours été suffisant. Depuis la troisième application des soins Olaplex, j’ai besoin de les laver tous les quatre ou cinq jours. Rien de dramatique, en effet ! D’autant plus que j’ai décidé d’alterner les masques n°3 et n°8 avec les ingrédients naturels comme autrefois.

Avant-hier, j’ai donc effectué un bain d’huile de coco (toute la nuit), et après un shampoing pour tout éliminer, j’ai laissé poser une heure le masque Natessance au karité -qui contient une variété de quats. Je n’ai utilisé aucun appareil chauffant. Ma chevelure est ressortie lisse, volumineuse, légère et brillante… bien plus qu’elle ne l’était avant les trois semaines de traitement Olaplex. Donc, l’effet se maintient parfaitement…

La soie, meilleur allié anti-fourches

chouchou en soie lilisilk

Après le traitement Olaplex, voici mon coup de cœur du mois : les accessoires de la marque Lilisilk (encore une fois, aucun partenariat sur ce blog !).

D’ailleurs, j’avais déjà vu des bloggeuses recommander leur taie d’oreiller en soie : c’est ainsi que j’ai connu l’existence de leur boutique en ligne, qui propose bien d’autres produits, confectionnés dans cette matière.

Le bonnet de nuit en soie :

Je dormais avec une taie d’oreiller (autre marque) en soie depuis plusieurs mois. Elle est extrêmement confortable. J’aime sa douceur et sa fraîcheur contre ma joue. Mais cela ne me dispensait pas de tresser mes cheveux la nuit, pour éviter qu’ils ne s’emmêlent, car je ne souhaite pas perdre du temps à les coiffer le matin.

Pour faciliter le quotidien, le bonnet de nuit est l’accessoire idéal à mon sens : il dispense de tresser les cheveux, et donc de les casser quelques centimètres au-dessus des pointes, à cause de l’élastique. Et enfin, plus besoin de se retrouver nécessairement avec des ondulations, si vous les avez naturellement raides.

Il y a longtemps que j’en cherchais un. En 2011, je me servais d’un chandail en coton : je passais l’encolure au niveau du front, puis je nouais le bout, afin que les pointes des cheveux ne dépassent pas. Puis, je me suis mise en quête d’un vrai bonnet.

J’ai essayé la charlotte en satin… Elle me semblait insupportable ! La matière synthétique tient chaud. Parfois, cela gratte. Je finissais toujours par l’arracher en milieu de nuit. Et impossible de la porter l’été ! Lorsqu’on a une bonne longueur, elle « aplatit » tout au niveau des racines. Aussi, elle fait transpirer et les cheveux regraissent plus vite. Mauvaise solution, à mon sens.

Sur le même modèle, j’ai donc pensé que l’idéal serait un bonnet de nuit « long » dans lequel les longueurs s’étendraient librement, et en soie pour le côté naturel/respirant.

J’étais sur le point d’un coudre un, mais le mètre de soie est très onéreux… lorsque j’ai trouvé, à moindre coût, en comparaison, celui de la marque Lilisilk !

Je n’ai pas hésité à investir dans cet accessoire, car l’objectif est de le garder une dizaine d’années, ce qui est tout à fait possible lorsque l’on en prend soin. J’en suis ravie ! Je le porte au moment d’éteindre la lumière, et j’oublie sa présence jusqu’au réveil :

  • Avec la soie, on ne transpire pas et l’on a pas chaud (ni froid) ;
  • Les cheveux sont plus doux ;
  • Il n’y a aucune nœud ni besoin de démêlage le matin ;
  • Fini les coiffures protectrices de nuit, ondulations, la casse, et autres préoccupations !

L’élastique est parfaitement bien taillé pour un tour de tête standard. Le bonnet ne glisse pas pendant la nuit. Il ne serre pas trop. Il est vraiment très confortable, et croyez-moi, je suis compliquée sur ce point, vu que je ne supporte ni barrettes, ni aucunes coiffures !

Je le porte chaque nuit depuis plus de trois semaines, et je ne cesserai probablement jamais de l’utiliser !

Attacher ses cheveux sans les abîmer
coiffure cheveux long chouchous en soie

Au passage, j’en ai profité pour tester un lot de chouchous en soie.

Le chouchou est un accessoire assez décrié ou du moins, considéré comme peu élégant : soit, il fait « petite fille », soit ils sont perçus comme « moches », grossiers, et démodés. Ils évoquent les années 1990 et la série « Premier baiser » ! -une époque que j’aime beaucoup, personnellement… mon enfance.

La soie donnerait-elle un côté plus noble que le velours, à cet accessoire ? Aucune idée, mais leur mélange de bleus (ciel et nuit) m’a paru très joli et original.

Je les adore, notamment parce qu’ils sont assortis, et que j’aime bien les coiffures un peu kitch !

Mais surtout, ils sont doux et ils sont parfaits pour une tresse, une queue de cheval basse, ou une demi-queue. Je remarque clairement beaucoup moins de casse, dès que j’enlève mon chouchou (plusieurs fois par jour) : aucun cheveux ne tombe, contrairement à d’autres matières, plus fermes, comme le velours, qui en arrachaient toujours quelques uns au passage.

Et si vous avez la manie, comme moi, de les glisser à votre poignet, pour en avoir toujours un à portée de main, cela reste plus élégant (ou original)… qu’un gros chouchou de velours.

Ceci dit, cet achat n’a rien d’indispensable. Des élastiques en matière douce (synthétique) rempliront sans doute la même fonction. De mon côté, je m’attache particulièrement aux objets. Je préfère donc garder à long terme mes 4 chouchous favoris, plutôt que d’en posséder une grande collection, de moins bonne qualité.

Le point au niveau des colorations

Le mois dernier, j’ai pris la décision d’arrêter le henné (pour l’instant). En fait, je voulais seulement retrouver ma couleur naturelle, un blond cendré en langage de coiffeur, à hauteur de ton 7.1. Je m’acharnais ainsi à neutraliser les reflets roux du henné avec différents produits chimiques.

Ma dernière expérience en coloration chimique :

Le 6 novembre, pour la deuxième fois, j’ai appliqué une coloration professionnelle (Diarichesse de L’oréal avec oxydant volume 9). Certes, elle a atténué la majorité des reflets orangés… Cependant, à chaque fois, elle dégorge en trois shampoings (ou semaines)… Je deviens simplement blond moyen acajou (7.05).

Cette solution ne me convient donc pas sur du long terme. Bien qu’éphémère, la coloration chimique reste un produit qui abîme les cheveux, surtout à une telle fréquence.

Pour le mois de décembre, j’ai ainsi pris la décision d’arrêter Diarichesse sur mes longueurs. A la place, je souhaite tester quelque chose de plus léger, mais de moins agressif : des patines Dialight cendrées. Peu importe l’efficacité : j’aime aussi ma couleur actuelle.

Cheveux naturels et cheveux blancs : en pleine réflexion

En fait, en regardant des photos d’enfance, pour comparer avec mes racines naturelles, j’ai réalisé qu’il y avait clairement une base roux – cendré. Je l’adore, et je ne souhaite plus la modifier !

Pour les quelques cheveux blancs (environ 15 %), c’est plus délicat.

Je réfléchis à une solution permanente: peut-être une coloration d’oxydation, uniquement ciblée sur eux. La quantité serait infime. La méthode exigerait une grande minutie, mais elle serait idéale pour conserver des cheveux vierges avec ma couleur de base, tout faisant définitivement disparaitre ces petits fils argentés, localisés sur le dessus… Elle ne demanderait une retouche que tous les deux ou trois mois.

Vous le voyez venir, ce sujet sera l’objet d’un prochain article…

cheveux longs brillants traitement olaplex
Pourquoi j’arrête la coloration végétale :

Pour le moment, je vais laisser mes cheveux tranquille, et arrêter les colorations végétales, que je faisais encore cette année (à base de Cassia). Il y a plusieurs raisons à cela :

  • je ne veux surtout pas modifier ni foncer ma couleur naturelle, or il me semble trop difficile d’obtenir parfaitement un blond cendré doré… ;
  • mes cheveux sont secs de nature, et les plantes tinctoriales les assèchent -ce qui provoque plus de risques de casse ;
  • la couvrance des cheveux blancs, qui deviennent de petits fils cuivrés, ne me plait pas du tout ;
  • je sais que je n’aurais ni l’envie, ni la patience de m’astreindre à des heures de coloration végétales le week-end, tous les mois.

Mon dernier henné remonte à 7 mois : il était composé à 50 % de Cassia et il a vraiment dégorgé, depuis. On peut donc dire que j’ai grosso modo un an de pousse de racines naturelles, soit une dizaine de centimètres.

Je n’attache plus mes cheveux en l’air

Aussi, j’ai changé mes habitudes.

Ma texture de mes cheveux étant plus lisse et soyeuse, difficile de réaliser une coiffure « haute » qui tienne ! Tout chignon ou toute queue de cheval glisse rapidement et se défait. Et tant mieux !

Auparavant, en journée, je relevais souvent mes cheveux en chignon haut, que « j’arrachais » (doucement) deux heures après, parce que je ne supportais plus le poids sur les racines. Et ce, plusieurs fois.

Or, j’ai remarqué que le poids provoquait beaucoup de casse, à 5-10 cm des racines… Aussi, je ne réalise plus aucune coiffure en l’air, sauf pour aller à la douche (avec une pince).

En plus, le fait d’utiliser des chouchous en soie, qui ne serrent pas assez, m’ôte facilement cette tentation.

J’ai égalisé les pointes (1 cm environ) et j’ai gagné + 2 cm !

faire pousser cheveux plus vite olaplex

Enfin, en prenant ma chevelure en photo début novembre, j’ai remarqué que les pointes étaient bizarrement irrégulières et longues, comme si les cheveux d’en-dessous poussaient plus vite que ceux du dessus -plus abîmés et parfois fourchus. Ou alors, j’ai raté mon égalisation du mois de juin…

Sans tomber dans le perfectionnisme, j’ai donc harmonisé la longueur sur un centimètre, afin de ne pas me retrouver avec un rideau « transparent », plus long que le reste de la chevelure. La longueur arrivait tout juste à la poitrine, mais tant pis !

Et là, surprise !

En trois semaines, mes cheveux ont pourtant gagné 2 cm ! Est-ce du au fait qu’ils soient plus lisses ? Qu’ils se soient moins cassés ? Que les compléments alimentaires aient accélérés la pousse ? Ou bien, tout cela à la fois…

En tout cas, je continue sur ces bonnes bases.

Quoiqu’il en soit, une somme de bonnes habitudes donne de bons résultats. A chacun de trouver sa routine, même si elle implique de réaliser des gestes qui ne sont pas toujours recommandés -par exemple, on entendait beaucoup dire sur les blogs, il y a dix ans, que coiffer quotidiennement ses cheveux en chignon aidait à réduire les fourches et les laisser pousser plus vite.

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